Bonjour,
Citation (dcobac @ 5 Feb 2007, 21:53)
Oui...mais ce qui m'embête c'est si le père est réellement inconnu ! As-tu une notation spéciale ?
Et en plus, pour ceux qui connaissent les tags GEDCOM, y a-t-il un tag spécial pour entrer ce type de renseignement ?
Dans la "norme" Gedcom une famille est constituée d'un tag (unique et obligatoire) HUSB, un autre tag (unique et obligatoire) WIFE et de 0 à N tags CHLD (child). Donc, à mon avis, même si les mormons ont (ou voulaient promouvoir) non pas un tag mais un paramètre spécial associé à "HUSB" ou à "WIFE", aucun des logiciels actuels ne l'utilise(rait).
Comme vous j'utilise aussi des conventions spéciales, et comme je n'ai pas d'ancêtres venant de Croatie ou de Tchéquie j'ai pensé à des noms et prénoms ne contenant que des consonnes : en l'occurrence XX comme nom et Nn comme prénom
Dans le cas d'enfants naturels je donne au père le nom XX et le prénom Nn. Comme j'utilise Geneweb et que celui-ci calcule des indices de consanguinité je considère les différents pères comme des homonymes.
Citation (avillaneau @ 5 Feb 2007, 19:14)
Les puristes vont peut-être trouver ma solution barbare ! J'appelle ce père inconnu X et le tour est joué.
C'est également la convention à laquelle j'ai songé et que j'ai commencé à appliquer. Plus exactement je prenais (et je prends toujours dans le cas où je l'applique) comme nom du père le nom de la personne, comme prénom du père Nn, et comme nom et prénom de la mère XX et Nn.
Apliquer cette convention ne pose pas de problème quand deux personnes sont indiquées dans un acte comme "frères germains" (ou "frères utérins"). En revanche le terme de "frère" est utilisé aussi pour des demi-frères. Dans ce cas si on les classe (à tort) dans la même famille je me suis rendu compte que c'était galère pour revenir en arrière. Je trouve en effet extrêmement important de garder la trace de tous les indices qui ont conduit à telle ou telle convention ; et je préfère ne conserver sous la norme GEDCOM que des faits assurés.
En pratique, quand un patronyme est peu fréquent, je préfère ne pas appliquer la convention ci-dessus. Quand je liste ma base (ce que je fais périodiquement) je me me retrouve d'une part avec une branche organisée autour du couple Jean MACHIN x Marie TRUC, et d'autre part avec un individu Jacques MACHIN, "témoin au mariage de Jean MACHIN et frère de l'époux". J'attends en fait l'arrivée d'indices nouveaux et "irréfutables" pour aller plus loin. Si en revanche le patronyme est fréquent je choisis en effet la solution ci-dessus (je donne alors au besoin aux "frères" - sans autre précision - des mères différentes)
Cordialement
Pierre