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> hoirs, Nord Pas de Calais
† pcopin
posté 11/04/2009 à 18:14
Message #1


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bonsoir
sur un compte de centièmes de 1569 (mais j'ai trouvé aussi ce phénomène parfois à d'autres époques), je trouve recensés à la fois un personnage, puis ses hoirs
je voudrais donc l'avis de ceux qui savent (IMG:http://www.gennpdc.net/lesforums/style_emoticons/default/wink.gif)
peut on avoir des hoirs alors que l'on est encore en vie? les héritiers ont ils vocation à "exister" du vivant d'une personne ?
merci de vos éclairages
bien cordialement
Pascal
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iblin
posté 12/04/2009 à 08:48
Message #2


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Bonjour Pascal

Une simple suggestion qui ne repose que sur mes déductions.

On peut supposer qu'après la rédaction d'un testament, faisant le partage des biens, les bénéficiaires à postériori peuvent être considérés comme des héritiers (hoirs) futurs.
Est ce là, la réponse ?????

Bon week end

Isabelle
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† pcopin
posté 12/04/2009 à 09:09
Message #3


Plume d'Or 2009 & 2008
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bonjour Isabelle
et merci de ta contribution
en réalité, j'aimerais comprendre si comme tu le suggères on peut avoir du viavnt d'une personne des hoirs, auquel cas la personne du rôle des centièmes est encore en vie; ou, si au moment de la constitutio du rôle elle décède, ce qui explique que ses hoirs figurent même si on n'a pas pris le temps de corriger l'autre mention
bonnes fêtes de Pâques
Pascal
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chrvermeulen
posté 12/04/2009 à 09:13
Message #4


Confirmé
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Citation (iblin @ 12/04/2009 à 08:48) *
Bonjour Pascal

Une simple suggestion qui ne repose que sur mes déductions.

On peut supposer qu'après la rédaction d'un testament, faisant le partage des biens, les bénéficiaires à postériori peuvent être considérés comme des héritiers (hoirs) futurs.
Est ce là, la réponse ?????

Bon week end

Isabelle

Bonjour, Pascal et Isabelle
ma suggestion irait plutôt au fait que tout enfant est héritier (hoir)de ses parents de leur vivant même sans testament et de nos jours encore un enfant ne peut être déhérité totalement de l'héritage de ses parents
N'oublions pas que même pour hériter d'une brouette nos ancêtres devaient donner un pécule
Cordialement
Christian
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† pcopin
posté 12/04/2009 à 09:18
Message #5


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bonjour
je retiens la suggestion, mais ma question est alors:pourquoi, du vivant de leur père sont ils collectivement propriétaires de terres?
bien cordialement
Pascal
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ffoucart
posté 29/09/2009 à 18:33
Message #6


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bonsoir,

pour les Terriers la réponse est simple: soit la personne est décédée et le rappel de son nom figure comme rappel de l'origine de propriété, soit il s'agit d'un rajout ultérieur à l'acte initial (chose courante, mais pas toujours décelable, notamment s'il s'agit d'une copie).

Pour les centièmes je procéderais par analogie avec les terriers.

Pour répondre à votre question: non, on ne peut hériter avant le décès, même sous l'Ancien Régime. Même si on rencontre parfois des actes ambigus, mais qui s'expliquent autrement (vocation successorale liée à un partage ou une indivision).

La pratique en cas de vente ou donation a souvent été au Moyen Age d'associer le propriétaire et des membres de sa famille (héritiers putatifs) lors de l'aliénation de biens. Mais il s'agissait de garantir l'acquéreur contre une contestation. Cette pratique existe encore aujourd'hui dans certains cas. Mais il n'y a toujours qu'un seul propriétaire.

L'adage "le mort saisi le vif" ne date pas d'hier.

François
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