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> HEMERY x RIOU, Sailly-au-Bois
jvasseur
posté 21/08/2023 à 12:13
Message #1


Plume d'Or 2015-16-17-18-19-20-21, Argent 2023
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Bonjour,


Ce sujet ne nécessite à première vue pas de réponse.


J'ouvre simplement ce fil pour extraire, au hasard de mon pélerinage dans les archives des insinuations du Bailliage et Prévôté de Péronne, cette mention de donation.
Répertoire numérique - Travail collaboratif de Roger BOISLEUX - LUDOVIC LEDIEU - Joseph ZIEMCZAK

4584 - 22/10/1742 [AD80 1B491 f°96-f°97] (page 50 - Albert (80))
Donation par Catherine Françoise DROUART, d'Albert, en faveur de Jean Baptiste HEMERY, charron à Sailly au Bois, et Marie Antoinette RIOU, sa femme.


Ce contrat intéressera sans aucun doute les épigones de ces familles du sud de l'Artois.
A consulter aux AD Somme 61, rue Saint-Fuscien 80000 AMIENS


Le contrat de mariage a été relevé en son temps par Béthencourt.
03 février 1737 : Contrat de mariage avec Marie Antoinette RIOU - Collection Béthencourt 2 J 12 - 309 R - p 615 / 710

Le mariage est célébré le 19 février 1737 à Sailly-au-Bois.
AD 62 - 5 MIR 733/1 - SAILLY-AU-BOIS 1646-1892
Vues 357-358


Jean Baptiste HEMERY est baptisé le 10 octobre 1698 à Sailly-au-Bois.
Il est le fils de Jean HEMERY ( ca1665-1740) & Antoinette LEDUCQ (ca 1662-1722).

Marie-Antoinette RIOU est née vers 1720 à Montigny, Somme.
Elle est la fille de François RIOU (†/1737) & Marie-Antoinette BEAUFILS (†/1737).



Cordialement,
Joël
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aduvivier
posté 31/12/2023 à 18:12
Message #2


Initié
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Citation (jvasseur @ 21/08/2023 à 12:13) *
Bonjour,


Ce sujet ne nécessite à première vue pas de réponse.


J'ouvre simplement ce fil pour extraire, au hasard de mon pélerinage dans les archives des insinuations du Bailliage et Prévôté de Péronne, cette mention de donation.
Répertoire numérique - Travail collaboratif de Roger BOISLEUX - LUDOVIC LEDIEU - Joseph ZIEMCZAK

4584 - 22/10/1742 [AD80 1B491 f°96-f°97] (page 50 - Albert (80))
Donation par Catherine Françoise DROUART, d'Albert, en faveur de Jean Baptiste HEMERY, charron à Sailly au Bois, et Marie Antoinette RIOU, sa femme.


Ce contrat intéressera sans aucun doute les épigones de ces familles du sud de l'Artois.
A consulter aux AD Somme 61, rue Saint-Fuscien 80000 AMIENS


Le contrat de mariage a été relevé en son temps par Béthencourt.
03 février 1737 : Contrat de mariage avec Marie Antoinette RIOU - Collection Béthencourt 2 J 12 - 309 R - p 615 / 710

Le mariage est célébré le 19 février 1737 à Sailly-au-Bois.
AD 62 - 5 MIR 733/1 - SAILLY-AU-BOIS 1646-1892
Vues 357-358


Jean Baptiste HEMERY est baptisé le 10 octobre 1698 à Sailly-au-Bois.
Il est le fils de Jean HEMERY ( ca1665-1740) & Antoinette LEDUCQ (ca 1662-1722).

Marie-Antoinette RIOU est née vers 1720 à Montigny, Somme.
Elle est la fille de François RIOU (†/1737) & Marie-Antoinette BEAUFILS (†/1737).



Cordialement,
Joël

Bonjour Joël,

Vieille retraitée surbookée, j'ai consacré beaucoup de temps, ces dernières années, à des recherches généalogiques dans d'autres départements, d'où mon silence sur ce forum.

Je le retrouve avec plaisir et suis particulièrement heureuse de te relire !

Je ne résiste pas au désir d'ajouter mon grain de sel à ce message, car la donation de 1742 a dû mettre un peu de beurre dans les épinards de mes ancêtres Jean Baptiste HEMERY et Marie Antoinette RIOU, 5 ans après leur mariage célébré à Sailly-au-Bois le 19 février 1737.

La donatrice, Catherine Françoise DROUART, d'Albert (Somme), fille de Jean DROUART, marchand mercier à Albert et de Marie BIGORGNE, était une grand-tante de Marie Antoinette RIOU.

Marie Antoinette RIOU, baptisée le 17 août 1719 à Montigny-sur-l'Hallue (Somme) † 16 décembre 1768 à Sailly-au-Bois était la fille de François RIOU, fermier de la Cense de Vilaincourt à Montigny († 21 juin 1727 Montigny-sur-l'Hallue).



La vie n'a pas été toujours facile dans le charmant village de Sailly, divisé en deux parties par un ruisseau se jetant dans l'Authie : sur la rive gauche se trouvait l'ancienne paroisse avec la plus grande partie du village appartenant à la Picardie ; la rive droite qui était sur l'Artois, comprenait la nouvelle paroisse, le château et le bois. Or l'Artois n'a été rattachée définitivement à la France que sous Louis XIV !



Par Marie Antoinette RIOU, je descends des BEAUFILS, maîtres des postes de Sailly.

Problème : j'ignore la date et le lieu du décès de son mari Jean Baptiste HEMERY, qui vivait encore le 27 novembre 1779.

Leur fille Marie Catherine HEMERY (° 14-03-1741 Sailly † 03-05-1810 Sailly) a épousé le 8 janvier 1767 à Sailly mon ancêtre gabelou Alexis DUVIVIER (° 12-08-1738 Hangest-sur-Somme † 22-03-1794 Sailly).

Issu d'une famille picarde d'Hangest, le père de ce dernier, prénommé également Alexis (°14-01-1712 Hangest † 18-05-1769 Sailly) était devenu vers 1750/1752 « contrôleur des 5 grosses fermes du Roy » à Sailly.[/size]

[size=3]La profession était périlleuse, car ces douaniers devaient faire la chasse aux contrebandiers à l'intérieur même du Royaume de France. N'oublions pas que le sel, denrée précieuse autrefois, coûtait alors 10 fois plus cher en Picardie qu'en Artois !




Bon Réveillon et heureuse année 2024 !

Bien cordialement,



Alice

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jvasseur
posté 07/01/2024 à 16:34
Message #3


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Bonjour Alice,


Mes meilleurs voeux pour 2024 !!!

Je note la présence de votre ancêtre gabelou, Alexis DUVIVIER...

En ce qui concerne la régie des fermes royales, la consultation de cette déclaration du Roi de France donnée à Versailles le 09 avril 1743 est très intéressante.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9610434q.texteImage

Outre les instructions données aux employé des Fermes du Roi concernant leurs prérogatives et l'étendue de leur pouvoir
Il y est de plus inséré un état des paroisses, comprises dans les trois lieues de l'Artois limitrophes à la Picardie...

Notons au passage que Sailly-au-Bois, côté Artois évoque dans son cahier de doléances, la situation particulièrement désagréable d'être située dans cette zone géographique très surveillée : certificats obligatoires, visites domiciliaires, contrôles, quotités disponible en sel gris et en tabac.

Archives départementales Pas-de-Calais Série B.884 21, Ms.in-f° ; 3 feuillets
Citation
Cahier des demandes, plaintes de doléances de la paroisse de Sailly-au-Bois, parties de l’Artois.

« Nous soussignés, habitants de laditte paroisse, demandons aux prochain Etats -Généraux avec confiance de la justice et bonté paternelle du Roy :
...
12. Nous demandons que dans les trois lieues limitrophes ils soient déchargés d’être assujettie aux certificats pour leur approvisionemens de sel et de tabac."


Je suis d'accord avec vous en ce que la profession était périlleuse car la contrebande était nombreuse et les faux-saulniers très déterminés.
Si je me souviens bien, la lecture de l'inventaire de la série C du Pas-de-Calais fait état vers le milieu du XVIII° siècle d'un engagement sur le territoire de Berles-au-Bois, entre les gabelous et une bande de contrebandiers de plus de 60 personnes, à dos de mules et bien armées.
Je ne pense pas que le document ait survécu à l'incendie du Palais Saint Vaast en 1615... Seule la mention subsiste dans l'inventaire !


En ce qui concerne plus spécialement les Fermes générales de Picardie, subsistent seulement 17 registres conservés dans cette sous-série des AD Pas-de-Calais. Ils concernent exclusivement le personnel des fermes générales et sont tous postérieurs à 1768. Ils ont peut-être été établis en vue de constituer les droits à la retraite du personnel, car c'est précisément en 1768 que fut mis en place un système de retraite (l'un des premiers en France) en faveur des employés de la Ferme générale.
---- 8 C - Fermes générales de Picardie ----

¤ Les "registres alphabétiques" indiquent sommairement, pour chacun des employés (dans l'ordre alphabétique des patronymes), les nom et prénom, les lieux successifs de résidence, la fonction (garde, sous-brigadier, brigadier) et la cause du départ (décès, retraite, mutation, démission, révocation) ; les motifs de la révocation sont parfois indiqués : "révocqué pour yvrognerie et de mauvaise conduite".

¤ Les "registres pour le signalement" sont beaucoup plus complets : pour chacun des employés (regroupés ici par bureaux et brigades), ils indiquent les nom et prénom, le grade, le lieu de naissance, l'âge (à la date d'installation dans le poste) ou la date de naissance, la taille, la situation matrimoniale, la profession avant l'emploi, le temps de service dans les fermes, la date d'installation dans le poste, la moralité, la capacité (aptitude à écrire ou signer), l'identité du "protecteur", du "nominateur", les appointements et la cause du départ. Ils fournissent donc des matériaux intéressants pour une étude du personnel des fermes.



Voici ce que dit le Guide des Recherches sur l'Histoire des familles de Gildas Bernard (Inspecteur général des Archives de France), p. 169. :
« Fermes générales :
Consulter aux Archives Nationales la série E pour les nominations par arrêt du Conseil. Pour le personnel, voir G/1 63 à 73 (sous les cotes G1 68/1 à 69/3 : recueil alphabétique des fiches individuelles de renseignements sur les employés des fermes, comportant des indications anthropométriques inhabituelles pour l’époque comme celle de la taille). Consulter aussi MM818 et la sous série O/1.

Voir à ce sujet DURAND (Yves), Les Fermiers généraux au XVIIIe siècle, Paris : Presses universitaires de France, 1971, p. 52-57 [BHB 2917] et surtout CLINQUART (Jean), Les Services extérieurs de la Ferme générale à la fin de l'Ancien Régime. L'exemple de la direction des fermes du Hainaut, Paris : Comité pour l'histoire économique et financière, 1995, p. 120-201 [BHB 5811]).


Voir par ailleurs cet excellent site bien illustré de Patrick DEVEAUX ---- "Les fermes du Roy" ----


Bonne lecture,
Joël
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aduvivier
posté 07/01/2024 à 20:06
Message #4


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Citation (jvasseur @ 07/01/2024 à 16:34) *
Bonjour Alice,


Mes meilleurs voeux pour 2024 !!!

Je note la présence de votre ancêtre gabelou, Alexis DUVIVIER...

En ce qui concerne la régie des fermes royales, la consultation de cette déclaration du Roi de France donnée à Versailles le 09 avril 1743 est très intéressante.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9610434q.texteImage

Outre les instructions données aux employé des Fermes du Roi concernant leurs prérogatives et l'étendue de leur pouvoir
Il y est de plus inséré un état des paroisses, comprises dans les trois lieues de l'Artois limitrophes à la Picardie...

Notons au passage que Sailly-au-Bois, côté Artois évoque dans son cahier de doléances, la situation particulièrement désagréable d'être située dans cette zone géographique très surveillée : certificats obligatoires, visites domiciliaires, contrôles, quotités disponible en sel gris et en tabac.

Archives départementales Pas-de-Calais Série B.884 21, Ms.in-f° ; 3 feuillets
Citation
Cahier des demandes, plaintes de doléances de la paroisse de Sailly-au-Bois, parties de l'Artois.

« Nous soussignés, habitants de laditte paroisse, demandons aux prochain Etats -Généraux avec confiance de la justice et bonté paternelle du Roy :
...
12. Nous demandons que dans les trois lieues limitrophes ils soient déchargés d'être assujettie aux certificats pour leur approvisionemens de sel et de tabac."


Je suis d'accord avec vous en ce que la profession était périlleuse car la contrebande était nombreuse et les faux-saulniers très déterminés.
Si je me souviens bien, la lecture de l'inventaire de la série C du Pas-de-Calais fait état vers le milieu du XVIII° siècle d'un engagement sur le territoire de Berles-au-Bois, entre les gabelous et une bande de contrebandiers de plus de 60 personnes, à dos de mules et bien armées.
Je ne pense pas que le document ait survécu à l'incendie du Palais Saint Vaast en 1615... Seule la mention subsiste dans l'inventaire !


En ce qui concerne plus spécialement les Fermes générales de Picardie, subsistent seulement 17 registres conservés dans cette sous-série des AD Pas-de-Calais. Ils concernent exclusivement le personnel des fermes générales et sont tous postérieurs à 1768. Ils ont peut-être été établis en vue de constituer les droits à la retraite du personnel, car c'est précisément en 1768 que fut mis en place un système de retraite (l'un des premiers en France) en faveur des employés de la Ferme générale.
---- 8 C - Fermes générales de Picardie ----

¤ Les "registres alphabétiques" indiquent sommairement, pour chacun des employés (dans l'ordre alphabétique des patronymes), les nom et prénom, les lieux successifs de résidence, la fonction (garde, sous-brigadier, brigadier) et la cause du départ (décès, retraite, mutation, démission, révocation) ; les motifs de la révocation sont parfois indiqués : "révocqué pour yvrognerie et de mauvaise conduite".

¤ Les "registres pour le signalement" sont beaucoup plus complets : pour chacun des employés (regroupés ici par bureaux et brigades), ils indiquent les nom et prénom, le grade, le lieu de naissance, l'âge (à la date d'installation dans le poste) ou la date de naissance, la taille, la situation matrimoniale, la profession avant l'emploi, le temps de service dans les fermes, la date d'installation dans le poste, la moralité, la capacité (aptitude à écrire ou signer), l'identité du "protecteur", du "nominateur", les appointements et la cause du départ. Ils fournissent donc des matériaux intéressants pour une étude du personnel des fermes.



Voici ce que dit le Guide des Recherches sur l'Histoire des familles de Gildas Bernard (Inspecteur général des Archives de France), p. 169. :
« Fermes générales :
Consulter aux Archives Nationales la série E pour les nominations par arrêt du Conseil. Pour le personnel, voir G/1 63 à 73 (sous les cotes G1 68/1 à 69/3 : recueil alphabétique des fiches individuelles de renseignements sur les employés des fermes, comportant des indications anthropométriques inhabituelles pour l'époque comme celle de la taille). Consulter aussi MM818 et la sous série O/1.

Voir à ce sujet DURAND (Yves), Les Fermiers généraux au XVIIIe siècle, Paris : Presses universitaires de France, 1971, p. 52-57 [BHB 2917] et surtout CLINQUART (Jean), Les Services extérieurs de la Ferme générale à la fin de l'Ancien Régime. L'exemple de la direction des fermes du Hainaut, Paris : Comité pour l'histoire économique et financière, 1995, p. 120-201 [BHB 5811]).


Voir par ailleurs cet excellent site bien illustré de Patrick DEVEAUX ---- "Les fermes du Roy" ----


Bonne lecture,
Joël


Merci infiniment, Joël, pour vos informations concernant la gabelle.

Comme je vous l'ai écrit, deux de mes ancêtres picards étaient gabelous :

· Alexis DUVIVIER, né le 14/01/1712 à Hangest- sur- Somme

x le 29/10/1737 à L'Etoile Jeanne DUCROTOY † 20/10/1766 Sailly-au-Bois.

Il arrive à Sailly vers 1750/1752.

Je n'ai pas encore trouvé trace de sa carrière entre 1737 et 1752.

On enterre à Sailly sa fille Marie Guislebert Duvivier, âgée de 26 mois, le 3 mai 1752.

J'ignore où elle est née.

Alexis décède à Sailly le 18 mai 1769. Il est alors "contrôleur des 5 grosses fermes du Roy dans ce lieu".

· Son fils Alexis DUVIVIER est né à Hangest-sur-Somme le 12/08/1738.[/size]

Il épouse à Sailly, le 8/01/1667, Marie Catherine HÉMERY (°1741 †1810 à Sailly).

il est alors employé aux gabelles à Sailly (1767), brigadier de la brigade ambulante dans les fermes du Roy.

[size=3]
Il paraît que les affrontements entre douaniers et contrebandiers étaient violents. A Berles-au-Bois, mon père disait qu'un lieu-dit « La tuerie » rappelait l'évènement auquel vous faites allusion.

Dans l'Authie, fleuve qui servait de frontière entre l'Artois et la Picardie, on trouvait parfois des gabelous noyés

Alexis DUVIVIER signe 3 actes de décès bizarres qui figurent dans le registre paroissial d'Authie le 18 mars et le 11 septembre 1764 (vues 1083 et 1092/1744). Il s'agit d'une femme et deux hommes qui sont inhumés dans le cimetière d'Halloy, hameau d'Orville, apparemment contre la volonté du curé d'Orville. Peut-être des faux-sauniers qui n'ont pas reçu les derniers sacrements ?

Les gabelous étaient souvent mutés : Alexis est successivement en poste à Sailly (1767), Méaulte (1767,1769), Thiepval (1771), Méaulte (1775), Orville (1777) et enfin Sailly (1779).

La Révolution met un terme à sa carrière, car elle supprime la gabelle.

A sa mort, le 2 Germinal An II (22 mars 1794), il est "Pensionné de l'Etat".

Il habite alors Sailly "rui amont".



Vos références m'encouragent à reprendre d'anciennes recherches. Encore merci !



Bien cordialement,

Alice



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