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> PAYEN, GOUBET, MERLIN, guillotinés sous Joseph LE BON, Arras, Boiry-Becquerelle, Neuville-Vitasse, Cambrai
lguemappe
posté 28/04/2021 à 15:24
Message #1


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Il me semble pertinent d'ouvrir un sujet sur quatre personnes de la même famille, guillotinées durant une période courte de 1794, sous l'administration de Joseph LE BON, à Cambrai et Arras.
Je le place dans "Haut Artois" parce que ces personnes ont leur origine dans cette région, bien que 3 d'entre elles ont été exécutées à Cambrai.

Ma principale question est : Comment déterminer la date de décès de personnes guillotinées durant la Terreur de Joseph LE BON ?

Je mets le lien vers un autre sujet proche dans ce forum : Maison des Anglaises

Tout d'abord, présentons rapidement ces personnes :
  • Charles Marie PAYEN, député du Tiers-état de la première assemblée nationale constituante entre 1789 et 1791. Né à Saint-Léger, vivant à Boiry-Becquerelle. Marié à sa cousine germaine Marie Marguerite Joseph PAYEN, née à Neuville-Vitasse.
  • Jacques François GOUBET, cousin germain de C M PAYEN, bailli de Boiry-Sainte-Rictrude. (Boiry-l'égalité)
  • Jean François Chrétien Marie PAYEN, né et demeurant à Neuville-Vitasse, neveu de Marie Marguerite Joseph PAYEN
  • Charles Marie MERLIN, notaire et avocat à Arras, beau-frère de Jean F C M PAYEN

C'était un milieu de riches fermiers lieutenants qui servaient la noblesse et le clergé.
Je descends à la fois du frère de Charles Marie PAYEN et du frère de Jean F C M PAYEN. Je n'ai pas étudié à fond les 4 personnes exécutées. Je m'intéresse ici à leur exécution.

Etat civil
Je n'ai pas trouvé d'acte de décès. J'imagine que personne n'a souhaité déclarer leur mort, de peur de périr à leur tour sur l'échafaud.
à Arras, j'ai trouvé le nom de Charles Marie "Merlen" dans la table décennale, à la date du 12 messidor de l'an 2 (30 juin 1794). AD62 - 3 E 12 - vue 161/225.
Mais je n'ai pas trouvé d'acte à cette date dans le registre correspondant : AD62 - 5 MIR 041/49
Je n'ai pas trouvé non plus d'acte de décès dans le registre des décès de Cambrai : AD59 - 5 Mi 012 R 073

Autres sources
Voici les principales sources en ligne que j'ai consultées, et dont je fournis les liens :
  1. Guillotinés de la maison dite des Anglaises, depuis le 19 floréal jusqu'au 29 prairial, à Cambrai, AD59 - 5 Mi 012 R 006
  2. fiche de Charles Marie PAYEN sur le site de l'Assemblée Nationale utilisant le dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889, Adolphe ROBERT et Gaston COUGNY, 1889-1891
  3. La Terreur dans le Pas-de-Calais et dans le Nord, Histoire de Joseph LE BON et des tribunaux révolutionnaires d'Arras et Cambrais, Auguste Joseph PARIS, 1864
  4. Quelques souvenirs du règne de la Terreur à Cambrai, appuyés sur des pièces authentiques et recueillis de la bouche des témoins oculaire, Pierre Joseph TRENARD, 1869
  5. Le registre d'écrou de la prison des Anglaises, Mémoire de la société d'émulation de Cambrai, Tome 78, 1930, p147-154
  6. Le conventionnel Joseph LE BON , MISERMONT, LENOTRE, FLEISCHMANN, 2017


Rappelons que, dans le calendrier républicain, les mois de floréal et prairial précèdent celui de messidor et que chaque mois compte 30 jours.
La source (1) nous indique que Charles Marie PAYEN et Jean François GOUBET ont été exécutés au plus tard le 29 prairial de l'an 2 (17 juin 1794). Ils sont associés aux numéros 40 et 39, respectivement. Jean F C M PAYEN n'apparait pas, ce qui conforte l'idée de son exécution durant messidor.

La source (5) source montre la photographie d'un extrait du registre d'écrou de la prison des Anglaises. (p154/397) En légende, il est écrit : "Registre d'Ecrou (pages 39 et 40)" Ces nombres correspondent bien aux chiffres données dans la source (1). Les noms de Charles Marie PAYEN et François GOUBET figurent sur les pages 40 et 39, respectivement. Par ailleurs, l'auteur indique que ces pages "se réfèrent à la journée la plus sanglante", c'est-à-dire "16 prairial an II (4 Juin 1794)".
[édité] Le registre des écrou de la prison des Anglaises était conservé en 1930 comme registre d'état civil : "Maison ci-devant des Anglaises - Arrestations - 187". Ce dernier nombre est la cote ; on le retrouve dans la source (5).

Voici les dates que j'ai trouvées pour le décès de Charles Marie PAYEN :
  • source (1) : entre le 19 floréal et le 29 prairial
  • source (2) : 19 juin 1794, soit le 1er messidor de l'an 2
  • source (3), p 524 et 525 : 3 messidor de l'an 2 (21 juin 1794)
  • source (4), p 216 : prairial
  • source (5), p 157/397 : 16 prairial de l'an 2 (4 Juin 1794)


dates pour le décès de Jean François GOUBET :
  • source (1) : entre le 19 floréal et le 29 prairial
  • source (3), p 524 et 528 : 3 messidor de l'an 2 (21 juin 1794), le même jour que C M PAYEN
  • source (4), p 215 : prairial
  • source (5), p 157/397 : 16 prairial de l'an 2 (4 Juin 1794), le même jour que C M PAYEN


dates pour le décès de Jean François Chrétien Marie PAYEN :
  • source (1) : l'absence de son nom suggère pas avant le 30 prairial
  • source (3), p 531 à 534 : peu après le 4 messidor de l'an 2 (22 juin 1794) [édité]
  • source (4), p 219 et p 221 à 223 : 6 messidor de l'an 2 (24 juin 1794)
  • source (6), p 66 : 26 juin 1794, soit le 8 messidor de l'an 2


dates pour le décès de Charles Marie MERLIN :
  • table décennale : 12 messidor an 2 (30 juin 1794)
  • source (3), p 565 : 12 messidor an 2


De plus, dans les archives du Pas-de-Calais, on peut trouver le "dossier de procédure" ayant servi au jugement de MERLIN dans la série L : AD62 - A L 104 (lien présentation). Son nom est cité dans l'instrument de recherche accompagné de "propos et attitudes contre révolutionnaires (12 messidor - 7 vendémiaire an II)"

Pour GOUBET et Charles Marie PAYEN, je crois qu'ils sont morts le 16 prairial. Pour Jean F C M PAYEN, j'ai tendance à croire au 8 messidor. Mais je ne suis pas certain.

Avez-vous des conseils ?

Ce message a été modifié par lguemappe - 29/04/2021 à 09:27.
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mdesmolin
posté 28/04/2021 à 16:38
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Bonjour

Dans ce sujet :
https://www.gennpdc.net/lesforums/index.php...62&hl=binse
je recherchais l'acte de décès de ce guillotiné et je le recherche toujours. J'ai parcouru les actes du tribunal de St Pol mais n'ai rien trouvé concernant cette "Petite Vendée de Pernes"
J'en ai conclu que les guillotinés n'étaient pas enregistrés, j'ai peut-être mal ciblé ma recherche dans les actes des tribunaux mais depuis 1 an difficile de se déplacer pour cette consultation

Cordialement
Marcelle
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fmerchez
posté 28/04/2021 à 17:20
Message #3


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Citation (lguemappe @ 28/04/2021 à 15:24) *
Il me semble pertinent d'ouvrir un sujet sur quatre personnes de la même famille, guillotinées durant une période courte de 1794, sous l'administration de Joseph LE BON, à Cambrai et Arras.

......

Avez-vous des conseils ?

Bonjour,

Voici ce que j'ai noté concernant Jean François Chrétien Marie PAYEN :

Voici la triste fin de Jean François Chrétien Marie PAYEN telle qu'elle nous est contée dans "Les Martyrs de la foi pendant la Révolution française..." par l'abbé Aimé Guillon & "La Terreur dans le Pas-de-Calais et dans le Nord. Histoire de Joseph Le Bon et des tribunaux révolutionnaires d'Arras et de Cambrai" par A.-J. Paris

"A minuit, les sbires du représentant enlevèrent Jean Payen de la prison de l'Hôtel-Dieu d'Arras; avec une cruauté sans exemple, ils l'accablèrent sous le poids des chaînes et des fers. A peine arrivé à Cambrai, le malheureux fermier fut conduit au tribunal. L'arrêté du District servit à rédiger le jugement-de condamnation :

« Ayant conservé avec soin des écrits fanatiques et contre-révolutionnaires ; caché dans un tas d'œillettes une soutane avec un ceinturon ; gardé une banderole armoriée du ci-devant prince de Vaudemont et de sa femme; vexé les patriotes ; défendu à ses laboureurs d'assister à la messe du curé sermenté; réuni chez lui tous les fanatiques et aristocrates du District d'Arras; discrédité les assignats ; correspondu avec son frère, ex-curé déporté; en un mot, ayant toujours été un monstre en aristocratie et en fanatisme ».

PAYEN Jean François fermier et principal cultivateur de Neuville Vitasse dans le diocèse d'Arras étoit un estimable père de famille dont la maison offrait l'exemple d'une piété sincère et éclairée. Lors de l'innovation schismatique de la constitution civile du clergé il ne vit pas sans chagrin que son curé fût expulsé par les autorités civiles pour n'avoir pas voulu se souiller du serment de la suivre et de la maintenir. Sa douleur devint bien plus grande quand elles établirent comme pasteur intrus dans sa paroisse ce Joseph Lebon qui, né dans la province, y étoit déjà connu pour un prêtre fort peu estimable. Ce Lebon qui apostasiant dans la suite et se faisant le propagateur ardent de l'athéisme conventionnel couvrira de sang et d'impiété le pays qui l'avait vu naître. Payen, sans autre motif d'éloignement que les principes de la Foi catholique l'obligation de se tenir à l'écart du schisme et de rester fidèle à la véritable Église, ne voulut jamais assister aux fonctions ecclésiastiques de l'intrus Lebon, entendre sa messe, recevoir de lui les sacrements. Il restait attaché à son ancien et véritable pasteur au défaut duquel pouvaient suppléer d'autres prêtres fidèles restés dans la province, pour l'utilité des catholiques.

La conduite de Payen à cet égard devint aussi celle de la plupart des fermiers et paysans de son canton. L'intrus Lebon en conçut une rage qui ne devoit s'assouvir que dans le sang de Payen. Discrédité comme curé, comme prêtre, il avait en cela le meilleur des titres pour être après le fatal 10 août 1792 député à la Convention en qualité de l'un de ses membres par les hommes qui se rendaient arbitres des choix dans son département. Il jura de se venger d'une manière sanglante de ce que Payen et plusieurs autres cultivateurs n'avaient pas voulu entendre sa messe deux ans auparavant lorsqu'il la disait encore.

Par un arrêté qu'a rapporté le conventionnel Guffroi dans son livre : Les Secrets de Joseph Lebon Paris an III, il donna l'ordre aux officiers municipaux de Neuville de faire arrêter et conduire à Arras tous ceux mâles et femelles qui en 1792 et 1793 n'avaient pas assisté aux messes des prêtres constitutionnels. Quelques jours auparavant il était allé lui-même à Neuville en avait assemblé les habitants dans l'église et là, monté dans la chaire pour y déclamer des impiétés, il avait dénoncé Payen comme un ennemi de la patrie et un contre révolutionnaire. Il avoit même annoncé sa fin prochaine et promis aux frénétiques du pays que les bestiaux et les autres biens de cet honnête cultivateur deviendraient leur propriété. Cependant les officiers municipaux ne l'arrêtaient point parce qu'on le regardait avec raison comme le père des pauvres et qu'il était parvenu à se concilier l'estime et l'amitié de tous ses voisins, suivant ce qu'avouera en octobre 1795 le président du tribunal d'Amiens qui jugera Jb Lebon. Ce proconsul fit lui-même enlever à Neuville pendant la nuit et amener bien garrotté à Arras l'irréprochable Payen et quand il l'eut jeté dans sa prison de mort, il se transporta de nouveau à Neuville et s'installa dans son domicile en disant aux habitants "Qui aurait cru lorsque j'étais ici curé que je serais un jour le maître de cette maison ? Oui j'en suis : maître Payen sera guillotiné et tout ce qui est ici m'appartient, il faut que l'on m'obéisse.

Cependant revenu à Arras il n'osait encore envoyer Payen à la guillotine parce que ses vertus et bienfaits étaient trop connus des pauvres même de cette ville. Mais lorsqu'en mai 1794 il s'établit avec son tribunal révolutionnaire à Cambrai il y fit amener d'Arras ce vertueux cultivateur. Payen y arriva le 6 messidor an II (24 juin 1794) à 6 h heures du matin. Traduit devant l'impie tribunal, il y fut condamné de suite, sans qu'on lui permît de se faire entendre et à dix heures sa tête était déjà tombée sur l'échafaud. Payen n'avait que 36 ans lorsqu'il fut immolé de cette manière pour la cause de la religion.

Plusieurs parens de ce vertueux fermier furent immolés aussi pour la même cause par ce proconsul. Parmi eux l'on remarque le 22 floréal (11 mai) André Cacherai meunier à Davelesse, avec Boniface Jacquemart, Pierre Joseph Laderière ,André Joseph Lefebvre tous trois habitans de Daves le Sec; Le 26 floréal (15 mai) Pierre Hubert Laîné tailleur de pierres; le 8 prairial (27 mai) Placide Cuvelier cultivateur à Barasle; le 14 prairial (2 juin) Fr. Baucourt maréchal à Crèvecœur le 17 prairial (5 juin) Jacques Carpentier et Armand Carpentier son fils cultivateurs avec Jean Charles Delécolle journalier;

le 1er messidor (19 juin) Charles Guislain Bertaud meunier etc. sans compter les autres cultivateurs Goubez, de Boiry Sainte Rictrude, Pecqueuret sa femme; Triboulet de Gonnecourt; Limelette, de Bourbon, avec sa femme; Eustache Carlier, de Bemy; Delestré, de Miraumont, Hocquet, de Metz en Couture; Barbet, d'Oisy; Mathieu, de Barasle, Marguerite Bonnefond, femme Beslaër; Reine Cécile Début, veuve Priston; Angélique Dupuis, femme Dechy, marchande à Cambrai etc...".


Les détails concernant la date du 24 Juin me semblent suffisamment précis pour que l'on puisse retenir cette date comme correcte.

Bien cordialement

Fernand MERCHEZ
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jvasseur
posté 28/04/2021 à 17:31
Message #4


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Bonjour,


Pour compléter...

Les registres d'écrou des prisons d’Arras (Baudets, Dominicains, Sainte-Croix, etc.) durant la période révolutionnaire sont classés en sous-série 4 L.

Léthurgez (Fleury). Les guillotinés à Arras. Relevé effectué aux Archives départementales de Dainville [Pas-de-Calais] (MS 29 et MS 30), Généalogie 62. Bulletin de l'Association généalogique du Pas-de-Calais, n° 59, p. 249-258


Cordialement,
Joël


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lguemappe
posté 28/04/2021 à 18:29
Message #5


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Merci à vous tous.

J'ai trouvé un trésor dans les archives du Pas-de-Calais : liste des personnes guillotinées à Arras ( AD62 - ms0030 - vue 21/27 )
J'y retrouve "Charles Marie MERLEN" le 12 messidor.
J'avais trouvé quelque part la cote "MS 30", mais ça ne m'avait pas permis de trouver le document. Peut-être que le MS 29 traine quelque part.

Je vous passe le lien de la page où je l'ai trouvé : L'Ogre et la veuve

[at]fmerchez : en relisant PARIS, je me suis aperçu que le 4 messidor, à minuit, est la date de son enlèvement d'Arras pour le mener à Cambrai. C'est cohérent avec la date du 6 messidor. Mais ça n'exclut pas entièrement la date du 8 messidor.

La date du décès de Jean F C M PAYEN donnée dans la source (6) est le 26 juin 1794. Si l'on en croit la note de bas de page, elle est fondée sur des documents des archives nationales, cote F7 47746
Selon ce document, il s'agit d'archives sur la "police générale", plus précisément du "comité de sûreté générale", "Dossiers individuels classés par ordre alphabétique".

Ce message a été modifié par lguemappe - 28/04/2021 à 21:36.
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lguemappe
posté 30/04/2021 à 11:30
Message #6


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Bonjour,

Le "registre d'écrou de la prison des Anglaises de Cambrai" est conservé à la médiathèque de Cambrai ("Le Labo-Cambrai, Nord")
lien
Nouvelle cote MS 1467
109 feuillets dont 59 blancs
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lguemappe
posté 04/05/2021 à 14:12
Message #7


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Citation (lguemappe @ 28/04/2021 à 16:24) *
Etat civil
Je n'ai pas trouvé d'acte de décès. J'imagine que personne n'a souhaité déclarer leur mort, de peur de périr à leur tour sur l'échafaud.
à Arras, j'ai trouvé le nom de Charles Marie "Merlen" dans la table décennale, à la date du 12 messidor de l'an 2 (30 juin 1794). AD62 - 3 E 12 - vue 161/225.
Mais je n'ai pas trouvé d'acte à cette date dans le registre correspondant : AD62 - 5 MIR 041/49


J'ai finalement trouvé l'acte de décès de Charles Marie MERLIN grâce à une de ses descendantes. Son existence était attesté par le document MS 30.
AD62 - 5 MIR 041/49 - vue 435/1436 - #2059

En fait, on peut trouver d'autres vues à la même date dans le même microfilm : vue 975/1436 par exemple. Il semble donc y avoir plusieurs registres des décès à Arras en 1794.
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