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Message
#1
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Confirmé ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Membre + Messages : 780 Inscrit : 15/08/2007 Lieu : 91200 Athis Mons Membre no 4 994 Aide possible: actes de mon arbre Logiciel: Heredis ![]() |
Bonjour,
Je recherche dates de N (vers 1735) et D (avant 8-1791) de VERBOUCKE Marie Cornélie Louise . Elle a épousé Claeys Jean François à ERINGHEM le 23-8-1758 . ses ascendants paternels m'intéressent également. Merci d'avance pour votre aide Gaston THYS Ce message a été modifié par dlarchet - 22/08/2012 à 00:23.
Raison de l'édition : Titre corrigé, merci de lire la rubrique "AIDE"
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Message
#2
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Plume d'Or 2010, 2007, Argent 2011, Bronze 2012, 2009, 2008 ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Membre + Messages : 9 494 Inscrit : 31/10/2005 Membre no 558 Aide possible: Flandres et Audomarois Logiciel: GeneaTique ![]() |
bonjour Monsieur,
[S'il s'avérait que votre Jean VERBOUCKE fut veuf d'une Françoise MARCOTTE, à son mariage ,il serait le frère de mon Hubert .] vous n'aurez de réponse à cette question que "après le passage" de Régine Nugou à LANGEMARCK ; bonjour Gaston, je suis toujours sur la mise en place de cet acte en flamand de 300 pages, c'est très long, numérotage et nettoyage des photos, lecture du texte flamand que je lis presque aussi facilement que s'il était en français, quelques pages en français notamment le procès, et très certainement la présence de Michel THYS et de Olive DESWAERTE ; je finirai le boulot par plaisir ....c'est amusant ; en voici un morceau en français que j'ai retapé machine ; RégineSource AD Lille J 466 204 Le conseil soussigné qui a vu l'acte de testament du 14 7bre 1767 fait par Charles Aernouts, fermier decédé au village de petite sinte, territoire de Dunkerque, et néantmoins ceurfrere ou bourgeois de la paroisse de Pitgham, châtellenie de Bergues; sur la question proposée, si la disposition faites par ledit Aernouts d'un douzième de ses biens en faveur d'Olive De Swarte sa femme peut et doit avoir lieu pour les biens délaissés par ledit Aernouts situés sous le territoire de Dunkerque, mais aussi tous ceux situés dans le province de flandres sont assujettis a cette disposition, quand bien meme la coutume locale de leur situation contiendront à cet égard une disposition prohibitive. C'est la loi de la bourgeoisie qui en Flandres régit les bourgeois par tout ou ils se trouvent et c'est cette meme loi qui regit la mortuaire ou la succession d'un bourgeois partout où il vient à decéder en flandres; or Charles Aernouts etait bourgeois de Pitgham lorquil a contracté, lorsquil a testé, loequil est venu a deceder: il etoit donc regi et sa mortuaire doit l'etre par la coutume de la paroisse de Pitgham, et à defaut par celle de la ville et châtellenie de Bergues, sous laquelle elle se trouve située. Autre maxime generale pour cette provine et particulierement établie par l'art 8. de la 19e rubrique des coutumes de Bergues; c'est qu'en fait de partage et de succession des mortuaires des bourgeois, on doit suivre la coutume qui les régit, meme pour les biens immeubles siutués dans toute la flandre flamingante. il s'ensuit que tous les biens situés dans cette province sont assujettis à la disposition de la coutume de bergues qui parmet aux conjoints de s'avantager mutuellement, constans mariage, par un joyau raisonnable, tamelic juweel, qu'un ancien usage, qu'on ne sache pas jamais avoir éprouvé de contradiction, a porté et pas à un douzième de tous les biens. Ce qui doit avoir d'autant plus lieu pour les biens situés sous le territoire de Dunkerque, sous lequel ledit aernouts et d'ailleurs venu à décéder, que ce territoire qui formoit autrefois parties de la chatellenie de bergues, ne reconnoit d'autre loi coutumiere que celle de bergues, qui y est locale, ni le démembrement qui en a été fait par raison politique, lorsque la ville de Dunkerque a passé sous une domination differente de celle de bergues, en vertu du traité des Pyrenées en 1659. ni la difference de ressort, depuis que ces deux villes ont été reunies sous la meme donomination, n'ont rien changé à la constitutionlégales des paroisses qui forment ces territoires, qui ont toujours continué d'avoir la coutume de bergues pour locale, et n'en ont jamais eu d'autre: c'est ce que confirme bien expressément Maillard dans ses notes sue la coutume d'Artois. Délibéré à Bergues ce 20 huillet 1784 Signé Vernimmen, Vandenbaviere plus deux illisible honoraires aux trois conseilliers dix livres de France |
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