Bonjour,
Dans l'acte de mariage du 6 juin 1702 à Dunkerque entre Guillaume CRYEY, veuf, et Adrienne Jeanne GLACHANT, jeune fille, il est fait mention d'une "dispense du voeu simple de chasteté" de l'épouse, "expédiée à la pénitencerie de Rome". Faut-il y voir quelque chose de particulier ? Dans quel cas était-ce nécessaire ?
Merci d'avance pour votre aide,
Bonjour Arnaud,
Voir le Rituel romain pour l'usage du Diocèse de Toulon, par Feu Monseigneur Louis-Albert Joly de Choin ---- https://books.google.fr/books?id=Mzyu5wm9uvcC&pg=RA1-PA31&lpg=RA1-PA31&dq=%22dispense+du+voeu+simple+%22+chastet%C3%A9&source=bl&ots=bhw1uDEomq&sig=ACfU3U2VLMgwiuoqcJS466LtFMmZtjOBCg&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjF26z96bniAhWRoBQKHTNGDTsQ6AEwAXoECAcQAQ#v=onepage&q=%22dispense%20du%20voeu%20simple%20%22%20chastet%C3%A9&f=false ---- Page 31
Adrienne Jeanne GLACHANT, se destinait peut-être à la vie monastique avant de changer d'avis et de se marier.
A moins qu'elle n'ait été séduite et abusée par le jeune homme !
Celui ou celle qui se marie après l'avoir prononcé commet un péché.
Le voeu simple de chasteté ne constituait pas un empêchement dirimant au mariage, mais simplement prohibitif.
Cordialement,
Joël
Merci Joël pour cet éclairage.
Bonne soirée,
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